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>>  PRESSE CINÉMA

Le Jour du Bain | 1994

(20’) court métrage noir/blanc 35 mm, 1994

Le Jour du Bain est d’une beauté saisissante.

24 HeuresJanvier 1995

C’est en Ukraine que la cinéaste suisse a tourné Le Jour du Bain, un poème pour se souvenir du massacre de Babi Yar. La réalisatrice ne donne pas de pistes, n’anticipe pas le drame vers lequel vont les personnages... avec des images d’une beauté et d’une rigueur exceptionnelles. Dominique de Rivaz a signé un bref chef-d’œuvre.

L’HebdoJanvier 1995

Mein Name ist Bach | 2003

(106’) CAB Productions (CH), Pandora Film (D), Twenty Twenty Vision (D), ARTE, WDR, 2003

Une offrande musicale qui claque comme un camouflet. Bach à dos de chameau, une peinture d’Andy Warhol… Une œuvre incontestablement inspirée.

L’Hebdo

La Liberté, l’insolence, avec lesquelles de Rivaz dépeint la rencontre entre Bach et Frédéric II, sont une révolution cinématographique.

Le TempsNorbert Creutz

Une guerre des clans : celui de la musique (Bach et ses fils) et celui du pouvoir (le roi, son secrétaire et son chien). Pour son premier long métrage, Dominique de Rivaz fait avec rigueur et humour le portrait de deux hommes en quête d’absolu. Dans le chaos du déménagement de la cour qui s’apprête à quitter Sans-Souci, la folie d’une époque troublée où la culture et la violence étaient intimement mêlées. Un duel musical et psychologique entre deux monstres.

L’ImpartialFrédéric Maire

Elégie pour un phare | 2013

(56’) Louise Productions, RTS, ARTE, 2013

...un film poème dans lequel chaque plan - objets, lambeaux de paysage, littoral - semble dévoiler la présence immanente d’un monde perdu, intangible, parallèle.

La Tribune de Genève2014

Opérant tantôt du côté du documentaire, tantôt du côté de la fiction, la cinéaste Dominique de Rivaz signe avec Élégie pour un phare un objet filmique qui n’a d’égale que sa luminosité. Un film exempt de tout pathos, empreint d’une mélancolie sourde. Au long de plans superbement composés se mêlent intimement autoportrait, documentaire et méditation sur l’inexorable passage du temps.

Le Phare2015

Dominique de Rivaz vient de réaliser un film, accompagné d’un livre de photos. Poème intimiste où elle fait le deuil de son père, Élégie pour un phare a été tourné dans un hameau ensablé du Grand Nord russe, sur les rives de la mer Blanche. La cinéaste en a également ramené de superbes photographies, qu’elle publie avec ceux du photographe Dmitri Leltschuk dans Les Hommes de sable de Choïna.

Le Courrier2014

Avec Élégie pour un phare, Dominique de Rivaz signe un essai cinématographique remarquable, inattendu, aussi intime par son abord qu'universel par son propos. Le hasard a amené la cinéaste à vivre un deuil dans le désert polaire de Choïna, quelque part dans le Grand Nord de la Russie.

Pèlerinage, témoignage ou méditation universelle sur l’inéluctable ? Ce moyen-métrage tourné contre vents et marées, aux images lentes à la limite de la photographie, est tout cela et bien davantage. Une œuvre improbable.

L’Express-L’Impartial2013

Vous trouverez Élégie pour un phare sous "Documentaires" bien qu'il s'agisse d'un "essai cinématographique" entre documentaire et fiction.

Aélia | 1985

(20’)court métrage noir/blanc 35 mm, 1985

La jeune suisse Dominique de Rivaz nous conte l’histoire d’une femme du moyen-âge, Aélia, prise d’amour interdit et pudique pour un homme de pierre. Film onirique, mystique, dont chaque plan est une peinture, une composition de chair et de pierre, aux limites du maniérisme mais sans préciosité.

Les Cahiers du CinémaSeptembre 1986

C’est beau, c’est intelligent et d’un érotisme pudique.

La SuisseOctobre 1985

Georges Borgeaud ou les bonheurs de l’écriture | 2013

(26’) Portrait de 20 grands cinéastes suisses, SRG SSR, 2013

De l’aube au crépuscule, du puits au ciel, du Préau (1952) au Soleil sur Aubiac (1986), le film de Dominique de Rivaz suit la trajectoire d’une journée et d’une vie. Cinquante minutes de bonheur.

Samedi Littéraire du Journal de GenèveIsabelle Martin

Cet accord entre un homme, une œuvre et un film qui les met en scène atteint une perfection presque enjouée avec le portrait de Georges Borgeaud (entretien : Frédéric Wandelère ; réalisation Dominique de Rivaz), film qui est à l’image de l’œuvre, d’une sensualité parfaite parce que intime et jamais provocante. Les plans, la lumière du film sont d’une qualité exceptionnelle, proches des tableaux de Georges de La Tour, que la vivacité et la gourmandise de Borgeaud animent avec humour et tendresse. De ce film, le spectateur conserve le sentiment d’avoir été invité à la rencontre d’œuvres littéraires et cinématographiques pleinement accordées à leurs sujets et à leurs moyens d’expression ; rien n’est imposé, tout est offert : c’est une belle leçon, retenue.

13 EtoilesAdrien Pasquali

Durant cinquante minutes, la cinéaste, avec la complicité de Frédéric Wandelère (poète et professeur), elle nous convie à un entretien raffiné et bonhomme avec l’écrivain d’origine valaisanne, à l’adolescence vaudoise, installé à Paris dès après la Deuxième Guerre : Georges Borgeaud. La réalisatrice compose élégamment avec les balises obligées du film-portrait. Le film permet de transmettre la chaleureuse simplicité de Georges Borgeaud. L’usage du lieu n’est pas étranger à cet équilibre, les images du pigeonnier, des pierres, des lichens, font ricocher les mots et les idées. La photographie de Patrice Cologne dégage la juste sensualité qui les décolle d’un simple décor.

Le TempsClaude Champion

Luftbusiness • Life for Sale | 2009

 (96’) Cab productions (CH), Iris productions (LUX), SF DRS, Arte, 2007

Un film singulier, énigmatique, empreint d'une sombre mélancolie, transcendé par les chansons incroyablement denses des 'Tiger Lillies'...

LuxembourgPaulo Lobo

Ancré dans la réalité la plus sombre, Luftbusiness s’élève à la dimension allégorique, baignant dans une lumière qui renvoie à l’or des icônes byzantines...

L'HebdoAntoine Duplan

Luftbusiness se distingue par des touches burlesques qui rappellent certains films d’Emir Kusturica. De partout en effet transpire la vie, l’humour et surtout la tendresse.

cinema.ch

Balade fribourgeoise | 1997

(52’) Coréalisation Jacqueline Veuve, Hugo Corpataux, RTS, 1997

Documentaire et fiction, archives filmées et photographiques, passé et présent se mêlent dans cette balade où chante d’abord le plaisir de faire du cinéma.

24 heuresClaude Vallon

Balade fribourgeoiseun défi fabuleux et difficile, mêle la fiction et le documentaire, la poésie de Dominique de Rivaz la visionnaire et la rigueur de Jacqueline Veuve l’ethnologue.

La Liberté

Chère Jacqueline… Hommage à une grande Dame du Cinéma | 2005

(52′) Portrait de la cinéaste Jacqueline Veuve, TSR, 2005

Un portrait émouvant.

Le Nouvelliste

Un bel hommage rendu à Jacqueline Veuve. Pourquoi toujours attendre la disparition d’une figure admirée pour lui rendre hommage ? C’est pour conjurer le sort que la cinéaste Dominique de Rivaz a filmé la grande dame du documentaire roman.

La Liberté